Cap-Navaër
Province : | Moldénie |
Rang : | ville portuaire |
Gentilé : | capnavéen/capnavéenne |
Population : | |
Superficie : |
Généralité
Sa position comme extrémité de l'empire lui permet d'accueillir toutes les marchandises provenant des mers du Sud. Son commerce a explosé avec le début du fédéralisme. Néanmoins lorsque le clergé se lança à l'assaut des communautés Cathodoxe, les riches marchands et armateurs de la ville se dispersèrent dans les campagnes. Cependant les Cap-navéens et en particulier le Tiglitz continue de les protéger car c'est en partie grâce à eux si la ville est si prospère. Malgré tout, les Cathodoxes commencent maintenant une lutte armée. Enfin la ville est assise sur des mines de souffres en partie inexploitées. Elles permettent d'ores et déjà d'approvisionner les fabriques de munitions de Délovnò mais la ville n'est pas assez portée sur l'industrie pour en faire son activité première. Le port de pêche et de commerce reste le secteur le plus important de la ville. La population se compose majoritairement de petits artisans et commerçants. Mais aussi de riches négociants et d'armateurs influants.
Géographie
Située dans une plaine non loin de la baie accueillante du Cap, la ville profite de sa position idéale pour commercer avec le reste du monde. Protégée au Nord par le Mazar et une barre rocheuse, le climat des environs est agréable et propice au commerce.
Direction de la ville
La ville, et par extension la région de Cap-Navaër, n'est pas dirigé par un archonte, mais par une assemblée particulière appelée le Tiglitz constitué d'un conseil, d'un édile, d'un mayeur et d'un capitaine-général.
=> détail cf article Tiglitz
Monuments
Port Sud, capitainerie, l'Hôtel du Tiglitz, usine de souffre, C.A.VIII.Cap-N.
Sa position comme extrémité de l'empire lui permet d'accueillir toutes les marchandises provenant des mers du Sud. Son commerce a explosé avec le début du fédéralisme. Néanmoins lorsque le clergé se lança à l'assaut des communautés Cathodoxe, les riches marchands et armateurs de la ville se dispersèrent dans les campagnes. Cependant les Cap-navéens et en particulier le Tiglitz continue de les protéger car c'est en partie grâce à eux si la ville est si prospère. Malgré tout, les Cathodoxes commencent maintenant une lutte armée. Enfin la ville est assise sur des mines de souffres en partie inexploitées. Elles permettent d'ores et déjà d'approvisionner les fabriques de munitions de Délovnò mais la ville n'est pas assez portée sur l'industrie pour en faire son activité première. Le port de pêche et de commerce reste le secteur le plus important de la ville. La population se compose majoritairement de petits artisans et commerçants. Mais aussi de riches négociants et d'armateurs influants.
Géographie
Située dans une plaine non loin de la baie accueillante du Cap, la ville profite de sa position idéale pour commercer avec le reste du monde. Protégée au Nord par le Mazar et une barre rocheuse, le climat des environs est agréable et propice au commerce.
Direction de la ville
La ville, et par extension la région de Cap-Navaër, n'est pas dirigé par un archonte, mais par une assemblée particulière appelée le Tiglitz constitué d'un conseil, d'un édile, d'un mayeur et d'un capitaine-général.
=> détail cf article Tiglitz
Monuments
Port Sud, capitainerie, l'Hôtel du Tiglitz, usine de souffre, C.A.VIII.Cap-N.