Il régnait comme une agitation inhabituelle dans les couloirs du Palais de la monnaie, le personnel était comme mu par une force invisible, une effervescence incroyable.
Certains couraient avec une robe, tandis que d'autres passaient avec des chemises de soie pliées de façon appliquée ou encore avec une caisse de munition.
Tous déposaient leurs petites charges au pied de l'immense escalier d'honneur à l'entrée de la battisse. Des porteurs s’affairaient dès lors à ranger le tout dans 3 voitures garées devant le Palais, alors même que le contact était déjà enclenché.
Pour les gens de la rue qui observaient ce va et vient incessant,il semblait qu'un départ s'organisait sous les lambris lustrés de la demeure (provisoire) de la famille impériale.
Pourtant le peuple savait bien que le vieil empereur et sa famille avaient été, par la force des choses, obligés de déserter le Palais impérial ancestral pour cet hôtel particulier, surement l'un des endroits le plus surveillé du pays, sans pouvoir le quitter sauf pour événement exceptionnel où le Lord protecteur agitait l'empereur comme un signe de bonne volonté.
Personne ne pouvait approcher à 100 mètres sans un laisser passer. Les gardes étaient entraînés et formaient probablement l'un des corps les plus élitistes du pays. La vie de la famille impériale était donc contrôlée, verrouillée, cadenassée. Alors que pouvait il se passait ?
Après une matinée de transport entre voitures et Palais, les va et vient se firent moins fréquents jusqu'à cesser complétement. C'est alors qu'un cordon de sureté, composé de garde, se mit en place jusqu'aux voitures, de loin certains dirent avoir aperçus 2 personnes quitter le Palais, la rumeur se rependit dans la capitale, des membres de la famille impériale quittaient leur prison. Certainement essaierait on d'en savoir plus lors des courses au Colisée dans la soirée.
[justify]Certains couraient avec une robe, tandis que d'autres passaient avec des chemises de soie pliées de façon appliquée ou encore avec une caisse de munition.
Tous déposaient leurs petites charges au pied de l'immense escalier d'honneur à l'entrée de la battisse. Des porteurs s’affairaient dès lors à ranger le tout dans 3 voitures garées devant le Palais, alors même que le contact était déjà enclenché.
Pour les gens de la rue qui observaient ce va et vient incessant,il semblait qu'un départ s'organisait sous les lambris lustrés de la demeure (provisoire) de la famille impériale.
Pourtant le peuple savait bien que le vieil empereur et sa famille avaient été, par la force des choses, obligés de déserter le Palais impérial ancestral pour cet hôtel particulier, surement l'un des endroits le plus surveillé du pays, sans pouvoir le quitter sauf pour événement exceptionnel où le Lord protecteur agitait l'empereur comme un signe de bonne volonté.
Personne ne pouvait approcher à 100 mètres sans un laisser passer. Les gardes étaient entraînés et formaient probablement l'un des corps les plus élitistes du pays. La vie de la famille impériale était donc contrôlée, verrouillée, cadenassée. Alors que pouvait il se passait ?
Après une matinée de transport entre voitures et Palais, les va et vient se firent moins fréquents jusqu'à cesser complétement. C'est alors qu'un cordon de sureté, composé de garde, se mit en place jusqu'aux voitures, de loin certains dirent avoir aperçus 2 personnes quitter le Palais, la rumeur se rependit dans la capitale, des membres de la famille impériale quittaient leur prison. Certainement essaierait on d'en savoir plus lors des courses au Colisée dans la soirée.