Laibach, ville récalcitrante

Plutôt épargnée par les bombardements pour son manque cruel d'intérêt militaire, en effet elle n'abritait pas d'institutions, mais elle était tout de même un symbole de la monarchie, elle fut la ville la plus touchée par la rage des fédéralistes, la jugeant beaucoup trop significative de l'Empereur. Aujourd'hui Laibach est devenue une ville malfamée, principalement appréciée des bandits de grands chemins, et désertée de la noblesse et de la bourgeoisie. Elle est devenue l'un des principaux pôles du marché noir et de la contrebande grâce à sa situation proche de Kapen-Lagen, mais aussi par le fait que la milice y soit totalement absente tant le danger y est grand. Un lieu parfait pour les trafics en tout genre.


Géographie

Située dans une cuvette qui la protège, la ville n'est accessible que par ses quatre portes, qui correspondent à des affaissements du terrain.


Direction de la ville

La ville n'a plus vraiment de dirigeant et se retrouve livrée à elle-même. Même la milice n'ose pas s'aventurer plus loin que la couronne frontalière de la ville. Lorsqu'il y a besoin de prendre des décisions collectives, on rassemble tous les hommes valides sur la grande place et c'est celui qui crie le plus fort ou bien celui qui dispose des moyens ad hoc – celui qui a le plus gros calibre et assez d'intelligence pour être encore en vie à la fin de son discours – qui a raison.


Monuments

Ecole des renardeaux, centre de revente


Villes alentours

Bergen : siège du C.A.IX.Berg