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Les Forces armées et de sécurité du S-H

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Forces armées et de sécurité du Siegburg – Helzonie


Les Forces armées et de sécurité du S-H Surviv11


La République Démocratique du Siegburg et d'Helzonie compte différents corps au sein de ses forces armées et de sécurité. Ils ont chacun une fonction prédéfinie, ainsi qu'une organisation précise. On distingue deux branches principales, les forces de sécurité et les forces armées.

Les forces de sécurité sont au service des provinces et des institutions de la République, leur rôle est de garantir la sécurité intérieure et l'intégrité des résidents du S-H. Qu'ils soient simples citoyens ou bien grands dignitaires de l'Etat. On compte parmi leurs rangs, les membres de la Milice, ainsi que les Gardes Républicains.

Les forces armées, qui dépendent plus ou moins directement du chef de l'Etat, ont la lourde tâche de défendre le territoire national contre les attaques provenant de l'extérieur. Elles sont composées des Légions de la République, de la Marine de guerre et de l'Armée Anti-Vampire.


La Marine de guerre

Les Légions

L'Armée Anti-Vampire

Les Gardes Républicains

La Milice

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2Les Forces armées et de sécurité du S-H Empty Marine de guerre Sam 14 Juil - 8:36

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La marine de guerre


Les Forces armées et de sécurité du S-H Drapst14

Dirigée par le Grand-amiral, la Marine de Guerre est la flotte militaire de l'Amirauté d'Holtezeau. Elle se compose de 4 flottes de 75 bâtiments soit 300 navires auxquels s'ajoutent 110 navires hors flottes car ils ne sont pas faits pour prendre directement part aux combats de haute mer. La mission de la marine de guerre est d'assurer l'intégrité des navires situés dans les eaux territoriales. Elle doit aussi garantir la sécurité du commerce national.

Liste des bâtiments de flottes:
- 4 Vaisseaux-mères : un par flotte, 140 canons d'acier à rechargement par la culasse, 22 mitrailleuses, 332 hommes
- 4 Vaisseaux-Amiraux : un par flotte, 122 canons, 14 caronades, 332 hommes
- 20 Cuirassés : 106 canons, 14 caronades, 290 hommes
- 18 Croiseurs-cuirassés : 80 canons, 12 caronades, 254 hommes
- 15 Croiseurs-légers : 70 canons, 12 caronades, 180 hommes
- 12 Frégates-cuirassés : 64 canons, 10 caronades, 174 hommes
- 10 Frégate-légères : 60 canons, 10 caronades, 152 hommes
- 25 Corvettes-cuirassés : 40 canons, 8 caronades, 120 hommes
- 23 Corvettes-légères : 36 canons, 8 caronades, 100 hommes
- 42 Galiotes à obusiers : 1/2 obusiers/mortiers ( 21 munie de mortiers), 64 hommes
- 7 Navires "pré-Dreadnought" : 4 Triple canons, 6 Doubles canons, 14 mitrailleuses, 140 hommes (projet)
- 33 Bombardes : 2 pas de tir pour fusées orientables sur 180°, 12 caronades, 16 hommes
- 30 Canonnières de guerre : 20 canons, 6 caronades, 62 hommes
- 50 Canonnières légères : 16 canons, 4 caronades, 62 hommes
- 7 Navires-hôpitaux : 26 canons, 10 caronades, capacité d'accueil : 2000 places, 75 hommes

Total flotte = 300 Total hommes = 34 317

Bâtiments hors flottes :
-40 Avisos patrouilleurs côtiers : 6 canons, 3 caronades, 50 hommes
-40 Barges fluviales : 12 mitrailleuses, capacité d'accueil : 100 places, 5 hommes
-25 Navires de transports : 12 canons, 6 mitrailleuses, capacité d'accueil : 2000 places
-5 porte-aéronefs : pas de tir pour fusées, piste pour dirigeables et montgolfières, 4 mitrailleuses (fait partie du projet d’aéronefs), 50 hommes

Total hors flotte = 110 Total hommes = 2 450

Ce contingent se compose de 80 000 hommes de flottes auxquels viennent s'ajouter 30 régiments d'infanterie de marine de 2 000 hommes soit en tout 140 000 hommes.

Galiote : C'est une corvette dotée d'un gréement de ketch (un seul mât décentré et deux voiles latines triangulaires attachées à la proue et au mât), dont l'armement principal est constitué par un ou deux obusiers ou mortiers selon le besoin, les galiotes à obusiers servent pour attaquer d'assez loin des navires plus gros, c'est l'idéal pour couvrir l'avancé de navires plus petit sur un plus gros. Un obus bien tiré et bien placé peut faire d'énormes ravages sur un navire ennemi, provoquer un début d'incendie sur les voiles, démâter, "souffler" des hommes hors du navire ou même provoquer un trou béant dans la coque du navire.

Une galiote armé de mortier quant à elle, pourra bombarder de loin des fortifications côtières, c'est le navire qu'il faut pour un débarquement réussi. Servir sur une galiote n'est pas une sinécure, c'est même pire que sur les autres navires question conditions de vie. En effet les obus sont principalement à fragmentation ou incendiaire, et les risques d'explosions si l'obus est mal tiré sont fréquents. Pour ces raisons, les galiotes ont des chaînes en guise de cordage et la procédure oblige l'équipage à humidifier les voiles pour prévenir tous risques d'incendie.

Bombarde : C'est une frégate dotée de deux mâts dont l'armement principal est constitué de deux pas de tirs pour fusées, positionnés à la proue du navire, les fusées sont orientables sur 180°. On se sert principalement des fusées pour attaquer le moral de l'ennemie. Pour qu'une bombarde soit vraiment efficace sur un navire, il faut qu'elle tire plusieurs fusées (avec plusieurs autres bombardes si possibles) sur la cible, pour avoir plus de chance de le toucher, comme il s'agit de fusées incendiaires, leur intérêt est d'incendier les voiles d'un navire ennemi pour l'immobiliser.

Ces deux navires-là n'était en général guère sympathique ni pour l'attaquant, ni pour l'attaqué, il est de tradition de les baptiser selon des concepts effrayants.

Spoiler:

Le pré-dreadnought, pas encore sortit des chantiers, sera le premier navire cuirassé de sa génération entièrement propulsé à vapeur, coque, revêtement et charpente métallique, plus résistants et d'armement plus dangereux bien sur puisqu'il ne tirera que des obus.

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Les patrouilles fluviales
La marine est aussi en charge de la sécurité des fleuves et les droits de passages qui y sont associés. Pour cela, fut créé durant l'Empire les patrouilles fluviales. A la base constituées de simples bacs sur lesquels prenaient position des archers, il s'agit aujourd'hui de barges à fond plat qui transportent des hommes des régiments d'infanterie de marine. Ils sillonnent les fleuves afin d'éviter le braconnage et les traversés sur des guets qui permettraient de ne pas payer les douanes.

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Dernière édition par Admin le Sam 14 Juil - 8:52, édité 1 fois

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Quelques illustrations de vaissaux

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Grades de la Marine:


  • Officiers dignitaires

    - Grand-amiral : dignité suprême, juste en dessous du chef de l'état qui est le chef absolu des armées. Il gère la marine en temps de paix, et délègue le commandement à un Amiralissime en tant de guerre s’il ne peut prendre le commandement personnellement. Il est aussi en charge du commerce, des infrastructures militaires navales, des expéditions maritimes qu'elles soient scientifiques ou autre, des douanes...

    - Amiralissime : il ne s'agit pas d'un grade à proprement parler, mais d'une simple dénomination, l'Amiralissime est la personne (aussi bien un Amiral, qu'un Navarque ou autre) qui commande en chef lors d'une campagne. Ils ont cinq ancres de marine à leurs épaulettes.

    - Navarque : il ne s'agit pas d'un grade mais d'une dignité, elle est attribuée au commandant qui a remporté la victoire lors d'une campagne, ils sont limités à douze. Leur symbole est une sorte de rameau d'olivier en or, ils portent quatre ancres de marine à leurs épaulettes. Les Navarques sont membres de droit du corps législatif et participent au conseil de l'Etat-Major.

    - Lieutenant général de marine : il ne s'agit pas d'un grade mais d'une responsabilité, il porte une clef croisée avec une ancre. Ils se partagent les effectifs de marines et les bâtiments, ainsi que les différents secteurs de l'Amirauté : recherche, commerce etc. Certains sont responsables de la sécurité de certaines parties de la façade maritime du pays. On les nomme alors "commandant de zone", il en existe cinq : quatre zones maritimes et une fluviale. Il existe aussi un Lieutenant général dédié aux Capitaineries, etc.

  • Officiers généraux

    - Amiral de flotte : trois ancres, ils sont actuellement 6, ils commandent chacun une flotte. Leur appellation est amiral.

    - Vice-amiral : deux ancres, il seconde l'amiral, veille au respect des ordres, prend part au combat activement et dirige la manœuvre des vaisseaux amiraux. Son appellation est amiral.

    - Contre-amiral : une étoile, il dirige un cuirassé ou bien il est chargé, sous le commandement d'un amiral et d'un lieutenant-général de marine, de diriger l'arrière-garde de la flotte. Son appellation est amiral.

  • Officiers supérieurs

    - Capitaine : les capitaines assurent les fonctions de commandant des bâtiments de classe croiseur. Ils sont aussi les relais de l'Amirauté dans les villes portuaires et donc en charge des infrastructures maritimes et administrateurs des affaires commerciales dans les Capitaineries. Il peut diriger également une compagnie ou une escadrille terrestre. Son appellation est capitaine lorsqu'il exerce ses fonctions d'administrateur, surtout auprès des civils et commandant lorsqu'il exerce son rôle de commandement, auprès des soldats principalement.

    - Capitaine de frégate : Le capitaine de frégate, en abrégé CF, assure les fonctions de commandant de bâtiments de type frégate ou de second à bord des bâtiments plus importants. On s'adresse à lui en disant commandant.

    - Capitaine de corvette : Le capitaine de corvette, en abrégé CC, peut assurer les fonctions de commandant de petits bâtiments de la marine de type corvette, ou de second à bord des bâtiments plus importants. Son appellation est commandant.

  • Officiers

    - Lieutenant : il peut être amené à diriger un bâtiment ou à seconder à bord. C'est aussi lui qui dirige les unités à terre. On l'appelle lieutenant lorsqu'il commande directement ou officier en second lorsqu'il commande en second une unité ou un bâtiment.

    - Enseigne : il seconde un plus haut gradé et reçois à ce titre l'appellation aide de camp (trois maximum pour un plus haut gradé), il peut aussi diriger un petit bâtiment, on l'appelle alors simplement enseigne.

    - Aspirant : il a les mêmes prérogatives qu'un enseigne mais doit obéir à ce dernier. C'est un élève officié.

  • Officiers subalternes

    - Major : il dirige une section de tireur, que ce soit de fusilier ou artilleur, terrestre ou marin.

    - Maître principal : on l'appelle cipal, technicien supérieur dans une spécialité, il encadre les équipes de travail ou d'opérateurs.

    - Premier maître : on l'appelle patron il dirige les pratiques de la manœuvre.
  • Sous-officier

    - Maître : il seconde les officiers subalternes, on l'appelle patron.

    - Maître en second : on l'appelle chef, il dirige une batterie.

    - Quartier-maître : sous-officier chargé de l'intendance.

  • Equipage

    - Quartier maître de première classe : il seconde le quartier-maitre.

    - Quartier maître de seconde classe : matelot qui vient d'obtenir son brevet de marin.

    - Matelot : Apprenti-marin, pas de commandement sauf cas spéciaux.
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    5Les Forces armées et de sécurité du S-H Empty Les Légions Sam 14 Juil - 9:28

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    Les Légions du S-H

    Les Forces armées et de sécurité du S-H Drapst15


    Il s'agit de la plus grosse branche des forces armées du S-H aussi bien en ce qui concerne la quantité d'équipement que le nombre d'homme qui la compose. Les Légions sont aussi en charge de la prison d'État, des forteresses, de l'armement et de l'équipement, ainsi que des postes frontières. Elles sont dirigées depuis Treffelburg, et Lieningen en est le centre technologique.

    Les Légions de la République sont en fait l'armée nationale à proprement parler. Elles se composent de 10 Légions comportant chacune des régiments d'infanterie, de cavalerie, d'artillerie, du génie, de train, de service de santé et de transmission. Les Légions de la République sont placées sous le commandement direct du Commandeur qui siège à Treffelburg, mais elles dépendent aussi et surtout du chef de l'Etat.

    L'armée du Siegburg-Helzonie est une armée professionnelle, c'est-à-dire une armée de carrière. Il n'y a pas de service nationale ni de conscription. Les individus qui y entrent, y font carrière, c'est presque un métier comme les autres. Les militaires travaillent pour l'état, ce sont des fonctionnaires, mais combattant. D'ailleurs les militaires n'aiment pas trop être considérés comme des fonctionnaires, estimant que les vrais fonctionnaires se planquent très souvent en cas de danger.

    L'armée a été professionnalisée dès l'abolition de l'Empire et des privilèges liés à la noblesse. Le grade de sous-lieutenant étant le maximum qu'un roturier pouvait atteindre à l'époque, les grades supérieurs étaient alors réservés à la noblesse. De plus il était devenu rare qu'un officier, quel que soit la manière dont il ait reçu son grade, soit vraiment compétant. Les écoles militaires étant de plus réservés à la noblesse, il n'y avait que l'anoblissement pour permettre à un roturier de continuer sa montée. La fin de ce privilège et la mise en place d'une "méritocratie militaire" a permis à l'armée de se montrer bien plus performante qu'auparavant.

    Une armée de métier est bien plus avantageuse qu'une armée de milices ou de levée, moins nombreux, mais mieux payée et mieux entraînée. Elle est donc plus performante en termes de résultat.

    Arme la composant :
    -Infanterie (ligne, légère)
    -Cavalerie (légère, ligne et lourde.)
    -Artillerie (de siège, de campagne, de fort, côtières.)
    -Génie (sapeur, mineur, pontonniers, pompiers, cartographie, ingénierie, architecture …)
    -Train (transport des troupes, des munitions, du matériel.)
    -Service de Santé (médecins, vétérinaires.)
    -Transmissions (Poste, Télégraphe, estafettes …)
    -Renseignement militaires (Espionnage, contre-espionnage …)
    -Police militaire (sécurité des citadelles et service d'ordre interne)
    -Aéronefs (montgolfière et dirigeables)

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    Renseignement militaire

    - Un Directeur Général
    - 1500 espionnage et 1500 contre-espionnage soit 3000 hommes

    Les renseignements militaires dépendent directement de son Directeur Général et du Commandeur. Ils ne rendent aucun compte ni au chef de l'état, ni au corps législatif. Divisés en deux départements de 1500 hommes chacun : espionnage et contre-espionnage, leur rôle est de collecter des renseignements sur les dispositions étrangères, mais aussi de traquer les traitres parmi les légionnaires.

    Aéronef


    - Un Commandant en chef des forces aériennes
    - 50 montgolfières
    - 22 zeppelins
    - 1750 hommes

    Bien que déjà très avancée, la division aérienne des Légions est toujours considérée comme une arme expérimentale. En effet, encore peu fiable, les ingénieurs aérostiers sont toujours en train de travailler au perfectionnement de cette arme qui pour l'instant reste assez vulnérable. Elle permet une meilleure reconnaissance du terrain, le bombardement de ville ainsi que le transport de troupes. Le département expérimental aérien est dirigé par un Commandant en chef des forces aériennes. Son statut est assez particulier, car ce Commandant en chef doit rendre des comptes à la fois au chef des Légions, ce qui est normal puisqu'il en fait partie, mais aussi à celui de l'AAV, tout comme au chef de l'Etat.

    Police militaire

    - Un Divisionnaire Général
    - 30 000 hommes

    Dirigé par un Divisionnaire Général, sa fonction est double. Elle assure le rôle des services de sécurité dans les villes militaires et celui d'inspection générale c'est-à-dire d'inspection des Légions, d'audit de l'activité de l'armée et d'enquête dans le cadre d'affaires disciplinaires internes.

    Uniforme de la police militaire
    Les Forces armées et de sécurité du S-H Sunifo10
    Transmission

    - Un intendant-chef à la communication et aux transmissions
    - 10 groupes de 200 hommes soit 2000 au total.

    Tous les moyens sont bons pour faire parvenir les messages. Estafettes à cheval, pigeon voyageurs, tambours et trompette, sémaphore, pavillon, télégraphe optique, téléphone … Ces hommes sont chargés de la transmission des ordres et permettent une bonne coordination entre les troupes. Ils sont aussi en charge de l'entretien et du bon fonctionnement des infrastructures de transmission publique.

    Les transmissions effectuent également une mission de service public en ce qui concerne le courrier et les télécommunications sur tous le territoire national.

    Service de santé

    - Un médecin chef des armées
    - 2500 médecins
    - 2250 vétérinaires
    - 10 groupes de 475 hommes soit 4750 au total.

    Le service de santé est composé de médecins et de vétérinaires, étant considéré comme personnel civil, les attaquer entraînerait de sérieux problèmes pour l'ennemie, du point de vue éthique. Les progrès de la médecine, ainsi que la mise au point des ambulances ont permis ces dernières années de réduire le nombre de pertes liées aux batailles et aux éventuelles épidémies. Bien vue par les populations civiles pris entre deux feux, les services de santé peuvent aussi faire dans l'humanitaire ou venir en aide aux services publics en cas de problème sanitaire. Ils remplissent alors une mission de service public par demande de l'Etat. Cela passe par exemple par des campagne de vaccinations, des circonscriptions d'épidémies…

    Les Forces armées et de sécurité du S-H Antiwa10
    Train

    - Un intendant général du train
    - 10 bataillons de 500 hommes soit un total de 5000 hommes

    Le train sert avant tout à la logistique et au transport des marchandises utiles à l'armée : armes, munitions, vivres, matériel médical, transport de troupes également. Mais certains wagons sont en fait des canons montés sur rails. Les bataillons de trains sont aussi en charge du bon état des chemins de fer.

    Génie


    - Un commandant en chef
    - Chaque corps d'armée est accompagné de 10 compagnies du génie regroupant chacune de ses spécialisations soit 50 hommes du génie qui accompagne chaque régiment de la ligne. L’effectif complet atteint 5000 hommes (100 compagnies de 50 hommes).

    Le génie constitue le cerveau de l'armée, composé d'ingénieurs, d'architecte, de cartographes, de pontonniers, et d'autres corps de métiers demandant une certaine intelligence. Le génie doit permettre un tas de choses, il y a les sapeurs, les forestiers, les mineurs, le génie civil, et l'ingénierie militaire. Ils peuvent monter un pont au beau milieu d'une bataille, creusé des tranchés, et des galeries en montagnes, et s'occupent du relationnel avec les habitants des zones de combats. Ils travaillent aussi à l'amélioration de l'armement et des méthodes et techniques de guerre. Ils sont aussi en charge de l'entretien des ponts et chaussées.
    Artillerie

    - Un artilleur général
    - Nombre de pièces : 200 canons, 180 obusiers, 150 mortiers : 530 pièces
    - 1040 hommes environ
    - Canon : 66mm, 75mm, 88mm, 120mm, 180mm
    - Obusier : 75mm, 88mm, 120mm
    - Mortier : 100mm, 120mm, 150mm
    - Fusées (arme expérimentale)
    Quelle soit de siège, de campagne, de fort ou côtière.

    - Les canons classiques ayant montré leurs limites (temps de chargement trop long, impossibilité de tirer par temps humide), les ingénieurs comprirent très vite l'intérêt des canons à chargement par l'arrière et copièrent très vite les modèles zollernois et belondaures. Aujourd'hui, les canons ne tirent plus vraiment de boulet, mais des obus explosifs qui ont un impact quasi-similaire sur l'ennemi et le gain de temps au chargement est très facilement compensé.

    - Les obusiers sont des canons courts qui ont la capacité d'être orienté de haut en bas, ces armes à trajectoire courbe et haute peuvent atteindre l'ennemi derrière un obstacle. L'obusier à de nombreuses munitions, le boulet classique, l'obus incendiaire et l'obus à chaux vive. Ce dernier est très critiqué en raison de ces effets, certes efficaces, mais aussi à cause de sa cruauté, faisant souffrir plus que ce qu'il ne faut. Tout contact avec la peau ou les yeux est irrémédiablement douloureux pour la cible, et par temps de pluie, les effets de la chaux vive sont encore plus graves.

    - Les mortiers, sont à première vue de grosses marmites trapues, c'est une arme de siège, qui tirent exclusivement des boulets, de plusieurs tonnes parfois, pour détruire des défenses et infrastructures ennemies.

    Cavalerie


    1. Cavalerie légère :
      - 20 Régiments de lanciers de 160 hommes chacun.
      - 20 Régiments de chasseurs à cheval de 160 hommes chacun. Soit 6400 hommes.
    2. Cavalerie de ligne :
      - 15 Régiments de hussards de 120 hommes chacun.
      - 15 Régiments de dragons de 120 hommes chacun. Soit 3600 hommes.
    3. Cavalerie lourde :
      - 10 Régiments de Cuirassiers de 100 hommes chacun.
      - 10 Régiments de Grenadiers à cheval de 100 hommes chacun. Soit 2000 hommes.
      - 1 Régiment de cavalerie de 200 hommes.


    Soit un total de : 12 200 hommes et autant de chevaux.

    Chaque unité de cavalerie à sa fonction spécifique :

    - Les lanciers, bien qu'étant classés comme cavalerie légère sont des troupes qui peuvent être dangereux pour tout autre type de cavalerie. En effet, les longues lances permettent lors d'une charge de transpercer aussi bien la monture que le cavalier. Hors, une fois leur charge stoppé, les lanciers sont vulnérables car ils n'ont rien d'autre que leurs lances pour tuer.

    - Les chasseurs à cheval sont des troupes hors-ligne, elles ont les mêmes missions que leurs homologues pédestres, à ceci près qu'elles sont capables de poursuivre l'ennemie en fuite, tout comme les hussards.

    - Les hussards sont reconnaissables entre mille, leurs uniformes bariolés et haut en couleurs en font la coqueluche des femmes, si on oublie ce point les hussards sont des hommes pour la plupart sadique, ce sont d'excellant sabreurs et leur mobilité permettent de contourner les défenses ennemies pour les prendre à revers.

    - Les dragons étaient à l'origine des troupes d'infanterie, qui, par soucis de mobilité se déplacent à cheval, avec le temps, ils se sont mués en troupes à cheval, bien que leurs collègues ne les considèrent pas vraiment comme de vrais cavaliers. Ils peuvent maintenir l'ordre dans une région occupée et gère les prisonniers après une bataille.

    - Les cuirassiers font partie de la grosse cavalerie, bien que lente à causes de leurs cuirasse, ces hommes font de véritables massacres dans les rangs de l'ennemie. Ils peuvent sans problème enfoncer plusieurs lignes ennemies avant d'être stoppé.

    - Les grenadiers à cheval sont des grenadiers d'infanterie montés, ils sont équipés de mortiers à main qui leurs permettent de lancers leurs grenades dans les rangs de l'ennemie. Se sont aussi de très bons sabreurs. Ils ne prennent pas part aux pillages, s'estimant comme étant des hommes d'honneurs. Outre cela, ils peuvent aussi se lancer à la recherche des déserteurs et des réfractaires.

    Infanterie

    - 100 régiments d’infanterie de ligne (500 hommes) dont 25 régiments de grenadiers (400 hommes), soit 50 000 hommes.
    - 50 régiments d’infanterie légère, dont 25 régiments de voltigeurs et 25 régiments de chasseurs, 200 hommes chacun soit 10 000 hommes.

    Chacun des régiments d'infanterie est en fait, composé de plusieurs autres unités : ainsi dans un régiment d'infanterie classique, il y a quatre bataillons de lignes, et un bataillon de grenadiers soit 600 hommes dans chaque régiment de lignes. Les grenadiers ne sont jamais regroupés entre eux, et leur numérotation en régiments n'a qu'une fonction pratique.

    Les régiments de voltigeurs et de chasseurs sont des régiments dit hors-lignes, les voltigeurs ont pour fonction de couvrir les flancs de l'infanterie et de contrecarrer toute tentative de débordement, tandis que les chasseurs ne participent que rarement aux batailles, leur travail étant exclusivement la reconnaissance, le harcèlement et l'embuscade.

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